Conferéncia amb JM VILLANOVA :
" Comedian, portaire Max"
Découvrir le théâtre de
MAX ROUQUETTE
« Cet écrivain que le monde nous envie » « Monument d’Occitanie » « Il nous aide à ne pas désespérer de l’écriture » « Une certaine façon d’être au monde » « Si Max ROUQUETTE était italien, il serait célèbre en France »... Ainsi, « L’ase volaire », écrit pour la Compagnie de Théâtre d’Ombres « Le Théâtre de Mathieu », dont la texte est inédit en français, mais publié en italien : « L’asino volante ». Il reçut le « Primo Premio Internazionale per la Fabia Sestri Levante - H.C.Andersen » à Gènes, en 1993 !
De nombreuses pièces de théâtre furent traduites, pour les besoins de la représentation, en allemand, en arabe, en catalan, portugais, hongrois, polonais, anglais. La version française de « La pastorala das volurs » obtint en 1958 le « Prix du Casino d’Enghien » ; d’autres pièces furent traduites en français pour être jouées par des troupes d’amateurs ou dans le cadre du théâtre radiophonique, en Europe, au Québec, en Afrique. « La comédie du miroir » version française du « Miralhet » paraît également dans « L’Avant-scène ».
Depuis 1934 et « Secret de l’herbe », il n’a jamais laissé son chemin talentueux. Les cinq volumes de « Vert Paradis » marquent le temps, de 1962 à 1990. A la prose poétique, il propose « le théâtre, meilleur chemin pour rendre l’occitan au peuple auquel on a fait oublier sa langue. Il écrit plus de 15 pièces de théâtre, dont « Le glossaire » (1984) joué par la Comédie Française, et « Médée » (1989) montée par Jean-Louis MARTINELLI avec le Théâtre des Amandiers, de Nanterre.
Homme de lettres, lu dans le monde entier, Max ROUQUETTE demeure mal connu chez lui. Curieux ? Pas tant que cela ! Il a choisi d’écrire en occitan, dans une nation où « il n’est de bon bec que de Paris » et dans un temps où la langue d’Oc est considérée comme un « patois ».
Presentacion de qualques pèças de teatre (Extraches de la charradissa.)